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ville devanves - Page 14

  • VANVES REFUSE DE SURSEOIR AUX COMPTEURS COMMUNICANTS DEMANDE PAR LE FRONT DE GAUCHE/PC

    Le combat contre les compteurs de gaz et d’électricité intelligent dont l’installation chez les particuliers fait débat est relayé à Vanves  par Boris Amoroz (FG/PC) depuis longtemps. Il a d’ailleurs présenté deux vœux au dernier conseil municipal du 28 Juin demandant à la ville de surseoir à leur installation. Ce qu’elle a refusé  bien sûr.

    « Comme vous le savez, des centaines de villes en France, comme Melun, Yerres, Bagnolet, Saint-Macaire, de tout bord politique, ont voté des délibérations similaires. L’Allemagne a décidé de surseoir au déploiement de ces systèmes. En effet, l'installation des compteurs communiquant, que GRDF et ENEDIS veulent imposer à tous les abonnées, sans avoir demandé leur avis ni obtenu leur assentiment, contient de nombreux risques. La principale est le souci de protection de la santé des habitants. En effet, s'ils sont installés, les compteurs communicants émettront ondes et rayonnements dont la prétendue innocuité est fortement contestée par diverses associations comme Robin des Toits, PRIARTEM, le CRIIREM, et même l’agence sanitaire européenne. Qui plus est, pour exploiter les fonctions des compteurs communicants LINKY, ENEDIS injecte des signaux dans le circuit électrique des habitations, par la technologie Courant Porteur en Ligne (CPL). Or, les câbles des habitations n'ont pas été prévus pour cela, ils ne sont pas blindés, et de fait le CPL génère des rayonnements nocifs pour la santé des habitants. Enfin, l’effet cocktail joue à plein, avec les ondes déjà présentes dans notre environnement » a-t-il expliqué en relevant que « par ailleurs, toutes les compagnies de réassurance excluent la prise en charge en Responsabilité Civile des dommages liés aux ondes électromagnétiques. Les compteurs communicants, bien que prétendus « intelligents », sont aisément piratables. Les économies d’énergie promises sont avant tout fictives. Les compteurs communicants, s'ils sont installés, permettront aux opérateurs de recueillir d'innombrables données sur notre vie privée, utilisables à des fins commerciales mais aussi de surveillance et de remise en cause des libertés publique. Le coût énorme de ce grand remplacement, alors que l’existant est robuste et fiable, sera en fin de compte payé par les usagers .Il apparaît que, contrairement à ce que prétendent les opérateurs, les programmes de compteurs communicants ne bénéficieront aucunement aux usagers mais bien aux sociétés commerciales qui préparent déjà leurs « offres » ainsi que des projets fort contestables comme « l'Internet des objets ». Les communes sont des organismes de service public dont l'objet est de servir la population et de la protéger, elles ne sauraient être instrumentalisées au profit d'intérêts commerciaux ».

    La majorité comme l’opposition socialiste n’ont pas du tout partagé cet avis : « Les communes n’ont aucune compétence pour interdire ces compteurs, pour intervenir dans le comptage. Leur installation répond à des objectifs économiques et écologiques pour mieux maîtriser sa consommation, pour payer au juste prix. Ces compteurs n’émettent pas plus d’ondes que les autres appareils » a répondu Pascal Vertanassian (UDI) maire adjoint chargé de l’urbanisme. Jean Cyril Le Goff (PS) a même cité l’étude de l’ANFR selon laquelle « les niveaux des champs électromagnétiques émis par les nouveaux compteurs électriques Linky ne seraient pas plus importants que ceux des compteurs actuels ou de n'importe quel appareil électrique classique », en expliquant que c’est dans le cadre de la loi pour la transition énergétique que projet de remplacement des compteurs a été lancé. « Et cela aura un impact sur l’emploi » a-t-il précisé. « Ce débat sur les compteurs intelligents prend une vraie ampleur, car beaucoup de choses dérangent. On décide pour le bien de la population trop vite. Mais qui va payer cet investissement ? Le consommateur ou le contribuable » s’interrogeait Lucile Schmid (EELV). « Beaucoup de voisins nous inerpellent sur ece sujet. Il faut leur expliquer. Ils permettront de facturer leur consommation au prix  réel et chacun pourra faire des efforts en voyant où il en est de sa consommation pour la réduire » a ajouté Gabriel Attal (PS) qui ajoutait : « Je ne vois pas  pourquoi, il faudrait les interdire ! »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    Hier soir, malgré ce temps gris peu estival, la fête de la musique a fait le plein place de la République comme le montre cette photo du jour ou plutôt du soir, à Vanves.

    UN NOUVEAU CONTRAT DE DEVELOPPEMENT POUR VANVES

    Le Contrat de Développement Département des Hauts de Seine – Ville de Vanves sera renouvelé pour une période de deux ans (2016-2018)  avec une subvention de 2 959 500 € alloués par la commission permanente du conseil département qui s’est réuni lundi après-midi et à laquelle a participé Isabelle Debré. 1 507 500 €seront consacrés à l’investissement avec plusieurs projets : La réhabilitation du bâtiment abritant le service qualifié pour l’accueil et l’animation des retraités (234 000 €), la réfection du 2éme étage des escaliers de l’école élémentaire Marceau (290 0000 €), la rénovation de la piscine R.Aveneau (325 000 €), la rénovation du gymnase Maurice Magne (150 000 €), la réfection du terrain d’honneur du PMS A.Roche ( 508 500 €). 1 452 000 € seront consacrés au fonctionnement avec 1,02 M€ pour les structures municipales d’accueil de la petite enfance, 123 000 € pour la culture, 246 000 € pour le sport, 63 000 € pour la coordination gérontologique

    RUGBY : LES SERVALS MONTE DE DIVISION ?

    Le club des Servals créé par de jeunes vanvéens passionnés de rugby, est arrivé pour la deuxième année consécutive en finale de championnat après une victoire 36 - 5 en demi. « Cette victoire nous permet de viser un nouveau titre -finale ce samedi à Pantin - et nous permettra de monter de division l'année prochaine (nous évoluerons dans les plus hautes divisions corpo : l'équivalent de la division d'Expograph en foot) » indique Laurent Cazenave-Lacroutz, son président fondateur qui indique que les 15 joueurs dés débuts en 2013sont pasés à  plus de 60 en 2016  « et ce, sans réelle promotion ou publicité. Un effectif conséquent, des résultats excellents : pas mal pour une équipe sans subventions, sans poteaux et sans moyens de transport ».

    DISPARITION D’HERVE LECLERC

    Vanves a perdu vendredi l’un des siens qui a connu une bien triste fin de vie, entre le chômage et l’alcool qui l’a détruit. Ses amis, parait il,  se sont retrouvés au Pavillon Bleu à l’heure de l’apéro bien sûr. Il avait été aidé pourtant tant par Guy Janvier  (PS) lorsqu’il dirigeait la ville et même aprés, que Bernard Gauducheau  (UDI ) mais sans succés. Il avait pourtant eu une vie professionnelle avant qui l’avait conduit en Novelle Calédonie, à diriger le cabinet de Didier Bariani, alors mairedu  20éme arrondissement  de Paris, et à travailler avec JM Rivière à la célébre boîte de nuit, l’Alcazar… Peu après, il était arrivé dans le bureau de Guy Janvier, qui s’en rappelle en disant « Je suis RMIste ! » et avait été impressionné par son CV. « Comme je cherchais quelqu’un pour développer le commerce, je l’ai recruté. Et puis il avait quelques idées pour Vanves » témoigne l’ancien maire. Tout le monde à l’époque se souvient de lui avec son blazer et ses lunettes noires. IL avait contribué à lancer le vide grenier du Plateau. Malheureusement, il s’est retrouvé sur le carreau avec la défaie de Guy Janvier, vivant de petits boulots, recruté même comme tuteur de demandeur d’emploi par le Conseil Général de l’époque

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : UN FRANCE-ALBANIE A JEAN MONNET TRES CONVIVIAL

    Le Football avec l’EURO  2016 remporte plus de succés que les rencontres avec nos champions, comme c’était le cas hier soir à Jean Monnet, avec la retransmission du match France-Albanie non pas dans ses jardins à côté de la place des Lavandières, mais dans la grande salle d’accueil de l’Escal, à cause d’un temps incertain et frais. Ce qui donnait une atmosphére plus conviviale avec le canapé. Une douzaine de jeunes se sont déplacés ce soir là, pas tout à fait à l’heure,  avec quelques adultes et trois animateurs pour les accueillir, pendant que l’un des groupes ou ateliers de l’ESCAL fêtait la fin de saison autour d’un verre sous la tente